Vers un droit à l’erreur pour les personnes morales.
Nous avons aujourd’hui du mal à reconnaître les faux-pas d’une personne morale. Notre droit est encore trop imprégné par le passé, très afflictif et essentiellement orienté vers la responsabilité du dirigeant fondée sur ses fautes de gestion ou manquements particuliers. Je milite au contraire pour le droit à l’erreur de la personne morale. On pourrait même aller encore plus loin en parlant du droit à l’oubli…